Depuis une semaine, Maman a repris le travail.
Le travail de Maman, moi, je n'aime pas ça : avant d'y aller, elle s'inquiète, elle tourne en rond, elle se demande si tout va bien se passer; et au retour, elle s'énerve, elle tourne encore en rond et elle recrie après tous les gens sur qui elle a déjà crié au travail...
Bref, ce n'est pas simple !
Alors, à son départ, pour lui souhaiter bon courage, je lui fais une léchouille sur le nez.
Mais à son retour, je boude ! C'est que je me suis ennuyée, moi ! Alors, couchée en boule sur mon pouf, la tête tournée vers la fenêtre, je ne me relève même pas pour lui faire un bisou. Et quand c'est elle qui vient, je la regarde à peine, comme si son retour m'indifférait complètement...
Mamie dit que ce n'est que le début, qu'on va reprendre le rythme toutes les deux.
Alors, comme pour l'instant, ce n'est pas fait, Maman a réalisé ce joli montage apposé sur la vitre arrière de Titine, pour ne pas oublier que nous sommes encore l'une et l'autre pour l'instant en :
😛
tu n'est pas gentille Dayak, ta maman est obligée de travailler si tu veux avoir des croquettes. crois-tu que le vétérinaire va lui donner sans payer ? de plus tu n'es pas seule car mamie vient souvent te voir. je te précise que nous sommes en septembre et que l'année scolaire va jusqu'en juillet.courage. bisous
RépondreSupprimerAh, ma belle Dayak, la rentrée n'est pas facile pour tout le monde!! Alors, bon courage à toutes les deux!!
RépondreSupprimerUn joli montage !
RépondreSupprimerEh oui il faut bien que ton humaine de compagnie aille au travail...
Miaous et ronrons
Bon courage à toutes les 2 pour ce nouveau rythme à tester. Allez Dayak faut soutenir la môman c'est toi la ronron thérapeute!
RépondreSupprimerBisous les filles
T'inquiète pas Dayak! L'équilibre va se rétablir pour vous deux! Et puis je suis bien sûr qu'elle préférerait rester à la maison avec toi ... alors ne lui tient pas trop rigueur de ses absences! En tout cas, nous, nous sommes bien contents d'avoir de tes nouvelles après une si longue période sans rien savoir de ce qui se passait.
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