Fenêtre en cours de réalisation

La réalisation de ma nouvelle fenêtre s'annonce plus compliquée que prévu. 😕

Apparemment, en 9 ans, Papi a oublié comment il avait fait la dernière fois... 😮

Hier après-midi, avec Maman, ils ont écumé tous les magasins de bricolage du coin. J'ai failli me retrouver avec une moustiquaire sans cadre... Finalement, après trois heures d'intenses recherches, ils n'ont rapporté qu'un rouleau de grillage... 

Mamie dit qu'elle va faire appel à un de ses amis bricoleurs. 

Ce serait bien, parce que, pour l'instant, ma future fenêtre, on ne sait pas bien à quoi elle va ressembler...

A ça, peut-être, avec un peu de chance...

😅

Ma fenêtre !

Depuis que je suis arrivée dans ma maison, j'ai toujours eu une fenêtre sécurisée pour satisfaire ma curiosité sans risquer de faire le chat-parachute et d'atterrir six mètres plus bas dans le jardin du voisin !

Depuis neuf ans, comme moi, la fenêtre sécurisée est fidèle au poste.

Mais ce matin, après les violents orages, elle penchait dangereusement vers l'extérieur.
Alors Maman a tiré sur le cadre pour le rapprocher de sa position verticale normale, et là...

Maman a dit que ce n'était pas très étonnant : comme moi, le bois du cadre a 9 ans, et lui, en plus, il s'est pris toutes les intempéries et les changements de températures de l'extérieur...

Du coup, je n'ai plus le droit de rester seule sur ma fenêtre.
C'est dommage, car quand le bois a craqué, toute une faune de petites bestioles en sont sorties, dont j'aurais bien aimé faire la connaissance de plus près... Maman, elle, les a laissées se disperser en retirant vivement ses pattounes de là !

Heureusement, mon Papi a promis de me faire un nouveau cadre, plus résistant, en aluminium ou en plastique. Sympa, mon Papi ! 😻

A côté !

Cette nuit, il m'est arrivé un problème...

En ce moment, comme je prends de fortes doses de cortisone pour mes plaques, je bois beaucoup.

C'est normal, la véto avait prévenu la Maman.

Du coup, je fais aussi beaucoup pipi, c'est logique.

Seulement, cette nuit, à force de pissous bien ammoniaqués, mes deux litières étaient franchement nauséabondes. 

Alors, je n'ai pas eu trop le choix...

En se levant ce matin, Maman a découvert deux petites flaques d'urine à côté de chacune de mes deux litières.

Elle a commencé par tout nettoyer par terre

à grand renfort de Sanytol...

elle a changé mes deux litières...

Et, pour finir, elle a remonté ma caisse de transport qui fera donc office,

le temps du traitement,

de troisième litière de nuit.

Et voilà, problème réglé !

Nouvelle collection

Ces derniers mois, Maman a perdu beaucoup de poids.

Deux tailles, dit-elle.

Du coup, elle a ressorti tous ses anciens vêtements du haut des placards,

les a entassés sur le canapé...

et nous voilà parties pour une séance d'essayage !

Tant pis pour mon coussin de vêtements,

la plupart lui vont de nouveau comme un gant !

Sauf un accessoire, pour lequel il faudra quand même attendre encore quelques kilos en moins !

😅

Zoizillon

Pour finir le récit de mes vacances, je vais vous raconter mes exploits de chasseuse !

La scène se déroule dans le jardin.

Comme il fait très chaud, je suis installée dans mon cageot préféré, à l'ombre de l'olivier.

Plus loin, au soleil dans son transat,

la Maman bronzante bouquine tranquillement, tout en tenant ma laisse d'une main distraite.

Après tout, il n'y a aucun risque : elle dort, la P'tite...

Mais en réalité...

Car à l'arrière-plan de cette photo, vous pouvez apercevoir un laurier rose.

En revanche, ce que vous n'apercevez pas, au pied du laurier rose

- parce que vous n'avez pas des yeux de chat -,

c'est ça :

Un bébé moineau qui ne sait pas encore voler  et qui joue bruyamment

- enfin, pour des oreilles félines ! - à essayer ses ailes dans le sable !

Le reste s'est passé en un éclair :

j'ai bondi de mon cageot et de l'ombre de mon olivier, droit sur le pied du laurier,

où j'ai artistiquement choppé le zoizillon piailleur !

Une patte sur chaque aile, il ne risquait pas de s'enfuir !

Tu oublies d'ailleurs de préciser que, pressée comme pas deux de sauter sur ce malheureux bébé moineau,

tu en as arraché ta laisse et ta médaille !

C'est vrai, mais ce que tu oublies de préciser, toi,

c'est que tu m'as tirée par le harnais pour libérer mon zoizillon

qui en a profité pour s'enfuir en piaillant jusqu'à son nid !

C'est bien la peine que je fasse des efforts de chasseuse... 😣

Comment j'ai griffé la Maman dans la pinède...

Préambule :

Merci à tous ceux qui m'ont souhaité un bon rétablissement. J'ai encore huit jours de cortisone à haute dose à prendre en cachets et à tartiner sur mon œil et ma plaque à la cuisse, mais celle-ci n'est déjà plus rouge du tout; la piqûre de ma Caroline de véto a été super efficace !

Bon, revenons à nos moutons ! Ou, plus exactement, à notre pinède...

Cette balade-là avait de toute façon mal commencé : dès les premiers pas sur notre sentier habituel, un petit crachin bien têtu s'était mis à tomber. Au bout de quelques mètres, j'avais déjà les poils tout gorgés d'eau; et je ne vous parle même pas de l'état de la Maman !

Alors, j'ai bifurqué vers un petit sentier en pente qui descendait dans les entrailles de la pinède. De hauts arbres au-dessus de nous formaient une voûte qui nous protégeait du crachin.

Et qui coupait aussi le peu de lumière tombant du ciel gris...

Sans compter que le sable du sentier était remplacé par des épines de pin détrempées bien glissantes; et que ledit sentier, entouré de feuilles de houx bien piquantes, se rétrécissait à vue d'œil...

Bref, on arrive en bas de la pente.

Pas moyen d'aller plus loin...

Enfin, moi, j'avais trouvé un autre sentier qui remontait, mais la Maman n'a pas voulu me suivre...

Evidemment, dans des buissons de houx... Je me suis déjà bien égratigné les mains pour te rattraper...

Du coup, mécontente, je me suis couchée sur les épines de pin, refusant de faire demi-tour pour remonter par où on était venues, et je me suis mise à grogner...

Alors la Maman a voulu faire comme d'habitude : me prendre à bras pour la suite de la balade...

Mais dès qu'elle m'a touchée, je me suis retournée comme une furie et je l'ai griffée bien fort sur la joue !

Deux traces bien rouges, de la tempe jusqu'au menton ! Je n'y étais pas allée de griffes mortes !

La Maman a bien vu que je n'étais pas dans mon état normal. Alors elle m'a reposée par terre et m'a tirée par la laisse jusqu'en haut du sentier d'épines.

Je ne sais pas ce que tu avais senti : lapins, renards...? Mais une chose était claire : il fallait quitter au plus vite cet endroit qui te rendait si agressive.

Une fois de retour sur notre sentier sablé, on s'est assises toutes les deux, et on a fait la paix, lentement, avec des caresses toutes douces.

C'est que ma P'tite toute douce, pas agressive pour un rond, elle est drôlement impressionnante quand elle se transforme en chat sauvage !

De toute façon, vu comme elle était bronzée, les traces rouges de mes griffes sur la joue de la Maman, c'est à peine si on les apercevait ! Un coup d'alcool dessus en rentrant, et hop ! ça ne piquait même plus ! Des fois, elle fait tout un fromage pour pas grand chose...😋

Interlude chez les blouses vertes

Moi, j'avais encore plein de choses à vous raconter de mes vacances, notamment comment j'ai griffé la Maman dans la pinède (si, si !) et aussi comment j'ai attrapé un oisillon piailleur dans le jardin.

Avouez : ça avait l'air intéressant, non ?

Sauf qu'aujourd'hui, Maman a décidé qu'on vous parlerait de ma visite chez les blouses vertes...

Depuis quatre jours, j'ai une grosse plaque rouge d'allergie en haut de la cuisse.

Malgré le traitement habituel que me donnait Maman, ça ne passait pas; c'était même de plus en plus rouge et à vif...

Pour tout arranger, une autre plaque a fait son apparition hier, juste à côté de mon œil.

L'œil, Maman n'y touche pas d'elle-même, elle dit que c'est trop risqué.

Alors aujourd'hui, de bon matin, j'ai embarqué dans ma caisse, direction : les blouses vertes !

Ma Caroline préférée de véto m'a papouillée de partout. 

Elle a regardé mes plaques et m'a mis dans chaque une petite goutte orange qui, heureusement, n'a pas viré au vert...

Pour ceux qui ne seraient pas familiers des couleurs en ophtalmologie, féline comme humaine, si la goutte orange vire au vert dans l'œil, cela signifie qu'il y a un ulcère de la cornée.

Bref, après les gouttes, elle m'a fait une piqûre de cortisone pour calmer les gratouilles. 

J'ai des comprimés à prendre et des crèmes à étaler sur la plaque de la cuisse et dans mon œil.

Pour finir cet article, je fais remarquer que je me suis gentiment laissé faire, sans feuler, griffer, ni mordre Caroline; il faut être honnête, elle est tellement douce et gentille que je n'ai même pas senti la piqûre. Du coup, même pas envie de l'attaquer !

Bon, maintenant que ça, c'est fait, la prochaine fois, je vous raconte comment j'ai griffé la Maman dans la pinède; c'est quand même plus rigolo que ma visite chez la toute douce Caroline !😋

Balade dans la pinède

Comme la dune de notre balade à la plage s'affaisse inexorablement, on a trouvé un autre point de chute pour les balades :

la pinède !

La pinède n'est pas loin de la plage. En fait, elle longe même l'océan.

Mais la progression y est beaucoup moins aisée.

En effet, la pinède est en pente, et comme son nom l'indique, elle est remplie de pins, de chênes et autres buissons partout.

Du coup, pour trouver un bon chemin de balade, il a fallu que je prenne la direction des opérations...

Evidemment, la Maman y a trouvé à redire...

Enfin, après l'avoir beaucoup attendue et traînée derrière moi,

on arrive au point culminant de la balade !

Allez, Maman, avoue : un point de vue pareil, ça valait quand même quelques efforts !

😅

A la plage !

Chez nous, en vacances, les balades, c'est super important !

Depuis le mois d'avril, la dune par laquelle on accédait à la plage a été fermée. Elle s'affaissait trop vite, alors mes humains des Eaux et Forêts en ont bouclé l'accès par des poteaux et de barbelés...

On fait donc un détour et on arrive enfin... en bas de la plage !

Là où le sable est bien mouillé et l'eau toute proche.

Tellement proche que la Maman a eu la riche idée d'aller y tremper ses pattons !

Evidemment, j'étais de la partie !

Ne vous méprenez pas : l'eau salée, j'adore y patouiller !

Mais là, il y avait des vaguelettes... Elles bougent tout le temps et elles font un peu de bruit, alors j'ai préféré rester bien en sécurité dans les bras de la Maman !

Et quand enfin, elle m'a lâchée...

Au prochain article, je vous raconterai mes balades dans la pinède !

On progresse...

Deuxième essai : on progresse pour la taille des photos...😺

J'arrive sur Blogspot !

Eh bien voilà !

Après avoir vainement tenté de faire revivre Humour Félin, en vain, la Maman a décidé de déménager mon blog ici !

Pour les nouveaux qui voudraient voir mes débuts, c'est  ici !

Dans les prochains articles, je vous raconterai mes vacances à la mer, mais pour vérifier que tout fonctionne correctement - ou, plus exactement, que la Maman a tout bien paramétré -, on vous poste juste une photo de nous deux, et on vous dit à tout bientôt !

PS : Vos commentaires n'apparaîtront pas tout de suite, ils doivent d'abord être validés par la Maman.